Il est des situations que l’on ne peut imaginer tant que l’on ne les a pas vécues. La maladie, la perte d’un enfant, d’un être cher, font partie de celles-là. L’association «Espoir, Hope, Elikia : vaincre la drépanocytose» est née de la douloureuse expérience d’une mère face à la maladie de son enfant.
La drépanocytose. Est-ce que cela vous dit quelque chose ? Si cela ne vous dit rien ou vaguement quelque chose, la drépanocytose est une maladie génétique du sang, héréditaire et qui touche les populations d’origine africaine, antillaise, afro-américaine et méditerranéenne. Elle est également présente en Inde et en Amérique du Sud.
Les personnes touchées sont anémiées, sujettes aux infections, à des crises douloureuses et bien d’autres complications, invalidantes, voire mortelles.
Maladie génétique la plus répandue au monde, la drépanocytose reste pourtant assez méconnue.
On estime à environ 50 millions de personnes touchées dans le monde et près de 300.000 naissances par an.
Alors, est-il acceptable de voir des êtres humains souffrir et mourir parce que d’autres n’ont pas su qu’ils pouvaient les sauver?
Est-il normal de voir des enfants mourir avant même d’avoir atteint l’âge de 5 ans simplement parce qu’ils vivent dans des pays où l’accès aux soins est un luxe, voire inexistant ?
C’est dans ce cadre que naît l’association « Espoir, Hope, Elikia : vaincre la drépanocytose ». Pour apporter une pierre à l'édifice.
Mais pour mener à bien nos missions, nous avons besoin de vous, sans qui rien n'est possible.
Nous vous remercions d’avance de l’attention que vous porterez à ce projet.
Mujinga TSHINYEMBE